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Origine centrale

    Cette théorie repose sur la notion de plasticité cérébrale.

    Selon ce principe, une fois l’opération effectuée, la zone du cortex cérébrale correspondant à l’organe amputé garde en mémoire la dernière sensation transmise par les nerfs au cerveau de ce dernier. Malgré la suppression du membre, sa zone au sein de l’Homonculus de Penfield ne disparait pas. En effet, chaque partie du corps est reliée au cerveau et est représentée dans l’Homonculus de Penfield, plus communément appelé Homonculus moteur, Homonculus sensitif ou encore système moteur, ce qui correspond aux circuits nerveux responsables de la motricité involontaire, et du contrôle de la posture.

 

   Quand un organe est amputé, les messages envoyés par le cerveau n’aboutissent pas, ce qui entraine une réponse sous forme de signal d’alerte, et ce qui correspond aux dernières sensations ressenties par l’organe au niveau de la section du membre : le moignon. Ces dernières sensations étant celles de l’opération d’amputation ou de l'accident, donc des sensations douloureuses, l’individu souffre de ces douleurs « fantômes ».

 

Homonculus de Penfield

© 2016 par les BS

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